
C’est parti, Death Stranding 2 : On the Beach est là ! L’attente est enfin terminée ! Cette suite tant espérée du chef-d’œuvre de Hideo Kojima, arrive sur nos écrans. Et cela promet une expérience de jeu encore plus immersive et captivante.
Les fans, qui ont patiemment attendu pour découvrir la suite des aventures de Sam Bridges, sont en émoi. Avec son mélange unique d’esthétique visuelle saisissante et de mécaniques de jeu innovantes, ce nouvel opus s’annonce comme une véritable œuvre d’art.
Hideo Kojima : un artiste visionnaire
Un jeu de Hideo Kojima est toujours une promesse d’innovation et d’émotion quand il investit une part de lui-même dans chaque projet. Cela se ressent dans Death Stranding 2. On y revoit des acteurs de renom comme Norman Reedus et Léa Seydoux. Et le jeu a une esthétique unique.
Kojima continue de repousser les limites de l’imaginaire pour créer des œuvres hors du commun. Sa série Metal Gear a déjà établi sa réputation, et cette nouvelle aventure s’inscrit dans la lignée de ses œuvres les plus audacieuses.
Death Stranding Hideo Kojima a une narration éclaircie
Dans Death Stranding 2: On the Beach, Hideo Kojima et ses co-scénaristes, Kenji Yano et Shuyo Murata, ont réussi à créer une histoire bien détaillée et complète. Les bandes-annonces laissent entrevoir une histoire fragmentée mais super captivante.
Les éléments de l’intrigue, bien que désordonnés, s’imbriquent pour offrir une conclusion époustouflante à la saga Death Stranding. C’est un exploit remarquable, surtout avec un casting aussi éclectique, incluant un samouraï cyborg et une marionnette animée.
Le monde ouvert de Death Stranding de Hideo Kojima est ambitieux
Jouable sur PlayStation 5, Death Stranding 2 propose une carte massive à travers le Mexique et l’Australie, remplie de secrets et d’histoires. Le jeu devient l’un des plus complexes en mode monde ouvert.
Chaque catastrophe naturelle peut transformer le paysage. Les joueurs doivent construire des infrastructures pour naviguer dans ce monde chaotique, ajoutant une dimension stratégique à l’expérience.
Une exploration de la non-violence
Ensuite, Hideo Kojima continue de promouvoir la non-violence dans Death Stranding 2: On the Beach. Dans ce jeu tuer un ennemi déclenche une explosion d’antimatière, laissant un cratère sur la carte qui affecte non seulement le joueur, mais aussi les autres.
Cette approche ludique soulève des questions sur les conséquences invisibles du meurtre. Et cela offre des alternatives non létales, comme des chiens robots et des fusils tranquillisants.
Une écriture raffinée et une bande son éthérée
Enfin, il s’avère que le rythme de Death Stranding 2 est plus rapide et satisfaisant que son prédécesseur. Alors que le premier jeu était une distribution progressive d’outils, cette suite offre des armes et des véhicules dès les premières heures de jeu. Par la suite, l’histoire est moins compliquée. Et elle est propulsée par un récit captivant qui rappelle les meilleurs moments de la série Metal Gear.
Puis, la musique joue un rôle central dedans. Le titre phare de la bande originale, « On the Beach« , est une mélodie harmonieuse qui accompagne parfaitement l’expérience de jeu. La découverte de l’artiste Caroline Polachek par Hideo Kojima est une chance. Elle témoigne de l’importance de la musique dans la narration. Polachek évoque comment la musique peut créer des ponts entre les gens. C’est un thème récurrent dans le jeu.