Préparez-vous à avaler le sable et le bitume ! Le Meyers Manx LFG n’est pas une simple mise à jour, c’est une résurrection électrisante. Avec 400 chevaux rugissants logés dans un châssis ultra-léger, ce petit bolide vaut la peine qu’on en parle dès maintenant ! 

Cette icône des plages des années 60 se transforme en bête de course tout-terrain. Accrochez-vous : les balades tranquilles viennent de prendre un sérieux coup de jeune… et de boost ! Voici en détail ce qu’il cahe.

Une résurrection en mode rallye

Une légende ne meurt jamais, elle se customise. C’est ce qui est arrivé à la Meyers Manx, la firme qui a réveillé l’icône des plages des années 60 avec une version électrique de cette auto. Elle revient avec un coup de jeune de folie : la LFG.

Conçue en collaboration avec le tuner britannique Tuthill, spécialiste des Porsche, ce buggy n’a que faire du bitume lisse. Ce véhicule débarque avec une ambition simple : redéfinir le plaisir de conduire en terrain vague, et elle a fait une entrée remarquée au Quail, en Californie, pour le prouver.

Carbone et portes papillon à l’horizon

Oubliez la simple coque en fibre de verre. La Meyers Manx LFG s’habille de carbone. Elle a des ailes évasées qui laissent voir des jantes de rallye et des pneus tout-terrain agressifs. Ses concepteurs ont ponctué son design rétro et hyper moderne de phares et feux LED en forme de pilule, d’un arceau de sécurité, de barres de protection et… de portes papillon amovibles ! Il y a de quoi offrir des sensations de liberté pure, entre le sable et les étoiles.

Un flat-six qui chante à 11 000 tr/min

Sous le capot arrière, ça sent l’essence. Les ingénieurs de chez Tuthill ont greffé un flat-six de 4.0 litres à la Meyers Manx LFG. C’est une évolution musclée du bloc 3.1 litres capable de monter à 11 000 tr/min de la 911K.

On mise sur plus de 400 chevaux, transmis aux quatre roues motrices par une boîte séquentielle six vitesses et des différentiels à glissement limité. Le tout suspendu par un système réglable et accompagné par un pot Inconel qui promet une symphonie mécanique envoûtante.

L’aventure est incluse dans le prix

Acheter une Meyers Manx LFG, ce n’est pas juste acquérir une voiture tout-terrain. C’est obtenir un sésame pour des expéditions automobiles de luxe. Mais sachez que Meyers Manx ne produira que 100 exemplaires à partir de 2026.

Et l’équipe de Meyers Manx conviera leurs propriétaires à des aventures de conduite sélectionnées autour du globe. Les 20 premières participeront même au LFG Baja Tour en 2027. Pour l’instant, le mystère reste entier concernant le prix de cette compétition, mais l’expérience, elle, sera sans équivoque.

Le rêve partagé de trois visionnaires

Enfin, derrière cette folie mécanique se cache une belle histoire de passionnés. Phillip Sarofim, propriétaire de Meyers Manx, et Richard Tuthill ont uni leurs forces pour imaginer le buggy parfait. Ils ont ensuite appelé le designer Freeman Thomas (père de la New Beetle et de l’Audi TT) pour habiller leur vision. Le résultat est décrit comme « brut, viscéral, novateur et sans compromis ». Son nom, LFG, n’est pas le fruit du hasard. C’est tout un spectacle cette auto.