
Le futur de l’électrique s’écrit en Europe ! Toyota, le géant japonais réputé pour sa fiabilité, surprend tout le monde en dévoilant son projet ultra-stimulant : un véhicule 100% électrique conçu et produit sur le Vieux Continent.
Une première qui promet d’allier savoir-faire nippon et sensibilité européenne. Préparez-vous à découvrir une création unique, où innovation rime avec identité locale. L’électrique n’a jamais été aussi excitant !
Toyota plante son drapeau électrique en Europe
Le géant automobile Toyota a officialisé un virage stratégique majeur. Il s’agit de la production de son tout premier véhicule électrique sur le sol européen. Bien plus qu’un simple nouveau modèle, cette annonce marque le début d’une nouvelle ère industrielle pour le constructeur japonais.
Il a choisi l’usine tchèque de Kolín comme berceau de cette révolution électrique. C’est fini le simple assemblage : place à une fabrication intégrée, depuis la carrosserie jusqu’aux batteries.
680 millions d’euros pour une usine futuriste
Pour accueillir ce nouveau fleuron, Toyota n’y va pas de main morte. La marque a fait un investissement de 680 millions d’euros. Cela va permettre d’agrandir l’usine de 21 000 mètres carrés et de la doter d’équipements de pointe.
Au programme : un nouvel atelier de peinture, une ligne de soudure ultra-moderne et surtout une unité dédiée à l’assemblage des batteries. Le gouvernement tchèque, partenaire enthousiaste, a ajouté 64 millions d’euros pour soutenir cette usine de batteries, soulignant l’importance de ce projet pour la transition écologique du pays.
De la Yaris Hybrid au « mega hub » électrique
Aujourd’hui spécialisée dans la production de l’Aygo X et de la Yaris Hybrid, l’usine tchèque va muter en « mega hub » électrique. Selon le rapport du Nikkei, ce ne sera pas un, mais plusieurs modèles électriques qui sortiront de ses lignes, en commençant par des crossovers et des SUV.
Une stratégie qui s’inscrit dans un calendrier serré : après le bZ4X restylé et les nouveautés de 2024, trois nouveaux EVs sont prévus pour 2026, sans compter les trois Lexus électriques annoncés.
Une réponse à la poussée chinoise
Derrière cette localisation européenne se cache une stratégie offensive. Si Toyota reste le n°2 des ventes en Europe derrière Volkswagen, la montée en puissance des constructeurs chinois comme BYD, avec leurs modèles low-cost, impose une réaction.
Produire localement véhicules, batteries et composants devient crucial pour rester compétitif. Cela permettra de réduire les coûts de production et répondre aux attentes du marché européen en matière de mobilité durable.
image générée par IA de voitures de la marque Toyota
Rendez-vous en 2028 pour la première « Made in Europe »
Le compte à rebours est lancé : les premières productions devraient démarrer dès 2028. Cette nouvelle activité va non seulement augmenter la capacité de production du site, mais aussi générer des emplois et renforcer la chaîne d’approvisionnement locale. Preuve que l’avenir de l’automobile électrique se joue aussi en Europe, et que Toyota compte bien y briller.