Imaginez : vous vous réveillez un matin, vous buvez votre café en regardant par la fenêtre, et là… un énorme mur de briques noir est devant vous. Pas de panique, c’est le point de départ du film Brick sur Netflix dont le dénouement est plutôt étonnant.

Le réalisateur Philip Koch a eu l’idée géniale de piéger ses personnages dans un building avec cette barrière mystérieuse, histoire de voir comment des gens normaux réagissent quand ils ne peuvent plus aller acheter leur lait. Spoiler : très mal.

Remettons-nous dans l’atmosphère de Brick avant son dénouement, de quoi ça parle ?

Dans Brick, Netflix nous présente un film dans lequel des gens normaux se retrouvent piégés par un mur plus têtu qu’une porte Ikea mal montée. Au fil du film, les personnages disparaissent un à un. On a l’impression d’être dans un Hunger Games version colocation toxique. 

Ce qui fait que lors du dénouement de Brick on n’est pas surpris de voir qu’il ne reste que Tim, le geek qui code mieux qu’il ne communique. Il est aux côtés de Liv, la survivante qui a compris trop tard qu’un mur noir géant était un red flag.

Mais grâce à une application oubliée et des flashs lumineux dignes d’une boîte de nuit cheap, ils parviennent enfin à ouvrir une sortie. Mais attention, Yuri, le méchant du film, tente de les en empêcher. Spoiler : ça ne marche pas.

Les héros de Brick sont sortis… mais pour atterrir dans un autre cauchemar ?

Après avoir échappé à leur prison de puzzle noir, Tim et Liv s’attendaient peut-être à un monde normal. Mais c’est raté. Dès qu’ils mettent le nez dehors, ils découvrent que TOUS les bâtiments du quartier sont désormais emballés par des murs de briques noir. Les rues sont vides, le silence est pesant, et la radio annonce joyeusement un état d’urgence. C’est le scénario à faire 100% flipper!

Le coupable ? Un incendie chez Epsilon Nanodefense. Vous ne trouvez pas que ce nom fait très « méchant de Marvel » ? Quoi qu’il en soit, leur système de défense high-tech a visiblement buggé, transformant la ville en gigantesque prison. Reste à savoir si c’est un accident ou un sabotage ? Le film ne répond pas à cette question, préférant nous laisser avec une fin ouverte… et une furieuse envie d’une suite.

Les caméras espionnes et un locataire parano des accessoires récurrents dans Brick

Avant le dénouement de Brick, les personnages découvrent au fur et à mesure qu’ils sont filmés 24/7 par des caméras cachées. Au début, on se dit : « Ah, c’est lié au mur ! ». Eh bien vous avez tout faux. Au fil de l’intrigue, on apprend que c’est le propriétaire de l’immeuble où vivent Tim et Liv, M. Friedman, qui avait un petit côté « J’aime regarder mes locataires vivre leur  triste vie ».

Pourquoi mentionner ce détail dans le film ? Eh bien parce que cela ajoute une couche de paranoïa à l’intrigue qui est déjà assez tirée par les cheveux comme ça. Moralité : si votre proprio est trop sympa, méfiez-vous. Il vous observe peut-être depuis sa chambre secrète.

Lors du dénouement de Brick, le monde extérieur est-il safe ? 

Honnêtement, lors du dénouement de Brick, rien ne prouve que l’extérieur soit peu sûr. Mais bon, quand on voit une ville entière cloîtrée derrière des murs noirs et des hélicoptères en panique,ce n’est pas l’endroit idéal où rester.

La radio laisse planer le doute : « L’incendie est-il naturel ou c’est un sabotage ? ». Si c’est un sabotage, alors ce mur pourrait être une arme de guerre ultra-flippante. Si c’est un accident… ben c’est encore plus flippant, parce que ça veut dire que la technologie nous échappe.

Conclusion : une fin qui donne envie de déménager

Sinon, Brick se termine sur une note angoissante. Tim et Liv roulent vers l’inconnu, entourés de murs, de silence et de questions sans réponses. Le film réussit le pari de nous tenir en haleine jusqu’au bout, même si on aurait aimé en savoir plus.
Une suite sera-t-elle prévue ? Peut-être. Bourré de rebondissements, cette œuvre a su captiver une grande audience sur Netflix.